Le Courrier de Paris, 16 novembre 1858, [p. 1] (article signé E. Reyer).
Chronique musicale.
Quand une pièce, au bout de quelques jours d’existence, est logée au rez-de-chaussée de l’affiche avec cette étiquette fallacieuse : En attendant la 4e ou la 5e représentation, retardée par indisposition, ou par toute autre cause, on peut dire de cette pièce qu’elle est morte. Ainsi mourut autrefois, à l’Opéra, Jeanne la FolleJeanne la folleJeanne la folle, opéra en cinq actes sur un livret d’Eugène Scribe mis en musique par Louis Clapisson et créé à l’Opéra de Paris le 6 novembre 1848.Lire la suite…, de M. Louis Clapisson ; ainsi vient de mourir la BacchanteBacchante, LaLa Bacchante, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules-Edouard Alboize de Pujol mis en musique par Eugène Gautier et créé au Théâtre-Lyrique le 4 novembre 1858.Lire la suite…, à l’Opéra-Comique. Et les fleurs, que quelques critiques ont jetées sur sa tombe, ne la réveilleront pas. Tant pis, vraiment ; car dans la BacchanteBacchante, LaLa Bacchante, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules-Edouard Alboize de Pujol mis en musique par Eugène Gautier et créé au Théâtre-Lyrique le 4 novembre 1858.Lire la suite…, comme dans Jeanne la FolleJeanne la folleJeanne la folle, opéra en cinq actes sur un livret d’Eugène Scribe mis en musique par Louis Clapisson et créé à l’Opéra de Paris le 6 novembre 1848.Lire la suite…, il y avait des pages très remarquables qui auraient dû rendre le public un peu plus indulgent pour les parties faibles de l’œuvre et assurer à la partition de M. Eugène GautierGautier, Jean-François-EugèneJean-François-Eugène Gautier (Vaugirard près de Paris, 27 février 1811 – Paris, 1er avril 1878), violoniste et compositeur. Il étudia au Conservatoire de Paris le violon avec Habeneck et la composition avec Halévy. Il obtint le 1er Prix de violon en 1838 et le 2d Prix de Rome en 1842. Il joLire la suite… une plus longue carrière.
Il faut croire que la BacchanteBacchante, LaLa Bacchante, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules-Edouard Alboize de Pujol mis en musique par Eugène Gautier et créé au Théâtre-Lyrique le 4 novembre 1858.Lire la suite…, comme Jeanne la FolleJeanne la folleJeanne la folle, opéra en cinq actes sur un livret d’Eugène Scribe mis en musique par Louis Clapisson et créé à l’Opéra de Paris le 6 novembre 1848.Lire la suite…, est arrivée dans un mauvais moment.
Je ne veux pas mettre un crêpe à ma plume et écrire un article nécrologique, mais, puisque j’ai dit qu’il y avait dans la BacchanteBacchante, LaLa Bacchante, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules-Edouard Alboize de Pujol mis en musique par Eugène Gautier et créé au Théâtre-Lyrique le 4 novembre 1858.Lire la suite… des pages très remarquables, le moins que je puisse faire c’est de les citer.
Au premier acte, Lycaste soupire une sérénade fort gracieuse, coupée par un chœur syllabique du plus charmant effet. Après des couplets dans lesquels les points d’orgue, les roulades et les fioritures abondent, ainsi que cela doit avoir lieu dans les morceaux que les compositeurs écrivent pour les chanteuses légères, Thaïs, Lycaste et Spavento, les principaux personnages du drame, chantent un trio parfaitement écrit, mêlé de passion et d’éclats de rire : la phrase amoureuse, lancée à pleine voix par le ténor, est une excellente inspiration, et assez belle pour faire pardonner à un auteur bien des réminiscences ….. involontaires.
En ajoutant aux trois morceaux que je viens de citer, la poétique romance du Sommeil, au second acte, si délicieusement accompagnée par le cor, et le duo très entraînant chanté par Thaïs et Lycaste, cela fait en tout cinq morceaux dignes d’être applaudis dans un ouvrage en deux actes où le dialogue tient une place importante.
Or, il y a une foule d’opéras comiques que l’on a joués très souvent, que l’on joue encore aujourd’hui, et dont le succès repose sur un pont-neuf agréablement varié, sur un couplet grivois ou une chanson à boire.
Si la partition de M. Eugène GautierGautier, Jean-François-EugèneJean-François-Eugène Gautier (Vaugirard près de Paris, 27 février 1811 – Paris, 1er avril 1878), violoniste et compositeur. Il étudia au Conservatoire de Paris le violon avec Habeneck et la composition avec Halévy. Il obtint le 1er Prix de violon en 1838 et le 2d Prix de Rome en 1842. Il joLire la suite… ne justifie pas, ainsi que j’ai essayé de l’indiquer, l’accueil peu favorable qu’elle a reçu du public, les différentes scènes dont Thaïs, Lycaste, Spavento et Marphorius sont les héros, ne justifient pas davantage le titre de la pièce.
Que Thaïs soit une bacchante de VirgilePublius Vergilius Maro dit VirgilePublius Virgilius Maro dit Virgile (Andes près Mantoue, vers 15 octobre 70 av. J.-C. – Brindisi, 27 septembre 19 av. J.-C.), poète. Il se lia d’amitié avec le poète Horace, le critique Quintilius Varus et la poète élégiaque Cornelius Gallus et étudia la philosophie, les lettres, le droitLire la suite…, une courtisane de Boccace, ou une simple rosière, peu importe aujourd’hui. Thaïs est du moins une cantatrice de fort bonne mine et de talent aussi ; l’auteur avait eu l’imprudence de suspendre son œuvre au fil métallique de cette voix : mais, Dieu merci, ce n’est pas parce que le fil s’est rompu que l’œuvre est tombée.
M. GautierGautier, Jean-François-EugèneJean-François-Eugène Gautier (Vaugirard près de Paris, 27 février 1811 – Paris, 1er avril 1878), violoniste et compositeur. Il étudia au Conservatoire de Paris le violon avec Habeneck et la composition avec Halévy. Il obtint le 1er Prix de violon en 1838 et le 2d Prix de Rome en 1842. Il joLire la suite… a assez de talent pour prendre sa revanche d’un échec qu’il n’a peut-être pas mérité, et assez d’esprit pour s’en consoler tout seul, sans avoir besoin des complimens de condoléance de ses nombreux amis.
On annonce comme chose certaine (et je n’ai pas à me prononcer sur l’importance de cet évènement), que l’ouvrage de M. ClapissonClapisson, Antoine-LouisAntoine-Louis Clapisson (Naples, 5 septembre 1808 – Paris, 19 mars 1866), compositeur. Il étudia le violon d’abord à Bordeaux puis avec Habeneck au Conservatoire de Paris. En 1832 il fut engagé comme violoniste au Théâtre-Italien et composa à partir de 1839 de nombreuses romances dont certLire la suite…, les Trois NicolasTrois Nicolas, LesLes Trois Nicolas, opéra-comique en trois actes sur un livret d’Eugène Scribe, Bernard Lopez et Gabriel de Lurieu mis en musique par Louis Clapisson et créé à l’Opéra-Comique le 16 décembre 1858.Lire la suite…, sera représenté dans une quinzaine de jours. Le sujet du poëme, auquel l’habileté scénique de M. ScribeScribe, Augustin-EugèneAugustin-Eugène Scribe (Paris, 24 décembre 1791 – Paris, 20 février 1861), auteur dramatique, librettiste. Auteur dramatique le plus joué à la Comédie Française en son temps (Bertrand et Raton en 1833, La Camaraderie en 1837, Une Chaîne en 1841), il fut un écrivain prolixe qui écrivit 425 Lire la suite… a donné, à ce qu’il paraît, une physionomie toute nouvelle, est emprunté à la jeunesse de DalayracDalayrac, Nicholas-MarieNicolas-Marie Dalayrac (Muret/Haute-Garonne, 13 juin 1753 – Paris, 27 novembre 1809), compositeur. Il écrivit de nombreux opéras-comiques qui eurent beaucoup de succès en France et à l’étranger et se sont longtemps maintenus dans le répertoire, tels que Nina, ou la folle par amour (1786), LeLire la suite….
Je souhaite, dans l’intérêt de M. Nestor Roqueplan, que les Trois NicolasTrois Nicolas, LesLes Trois Nicolas, opéra-comique en trois actes sur un livret d’Eugène Scribe, Bernard Lopez et Gabriel de Lurieu mis en musique par Louis Clapisson et créé à l’Opéra-Comique le 16 décembre 1858.Lire la suite… aient plus de chance que La BacchanteBacchante, LaLa Bacchante, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules-Edouard Alboize de Pujol mis en musique par Eugène Gautier et créé au Théâtre-Lyrique le 4 novembre 1858.Lire la suite…, car, enfin, l’Opéra-Comique, jusqu’au jour solennel où aura lieu la première représentation de l’œuvre de M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite…, ne peut vivre seulement de reprises et de méprisesMéprises par ressemblance, LesLes Méprises par ressemblance, comédie en trois actes sur un livret de Joseph Patrat mis en musique par Modeste Grétry et créé au château de Fontainebleau le 7 novembre 1786 et à la Comédie-Italienne à Paris le 16 novembre 1786.Lire la suite….
A propos de l’œuvre de M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite…, chacun a pu remarquer qu’elle était annoncée sous des titres tout à fait différens les uns des autres : le Chercheur d’Or, la Dame des Prés et le Pâtre de Cornouailles. Ce dernier titre serait, je crois, le meilleur, et il indiquerait d’une manière assez claire que l’action se passe en Bretagne….. ou en Angleterre.
Le théâtre impérial de l’Opéra ne voit peut-être pas sans un peu de jalousie la bonne fortune qui vient d’échoir à son petit voisin. Il a HerculanumHerculanumHerculanum, opéra en quatre actes sur un livret de Joseph Méry et Térence Hadot mis en musique par Félicien David et créé à l’Opéra de Paris le 4 mars 1849.Lire la suite… ou Olympia, et c’est beaucoup, mais il craint bien de ne pas avoir de sitôt JudithJudithJudith, opéra sur un livret d’Eugène Scribe mis en musique par Giacomo Meyerbeer. Suite au décès de Scribe (1861), Meyerbeer paya à sa veuve en 1862 la compensation prévue dans le contrat pour ne pas compléter l’œuvre. Celle-ci demeura à l’état d’esquisses que la famille du composiLire la suite… et l’AfricaineAfricaine, L’L’Africaine, opéra en cinq actes sur un livret d’Eugène Scribe mis en musique par Giacomo Meyerbeer et créé posthumément à l’Opéra de Paris le 28 avril 1865.Lire la suite…. M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite… ne se soucie nullement de confier les principaux rôles de ses ouvrages à des artistes qu’il ne juge pas aptes à les remplir, et il prétend choisir lui-même ses interprètes. Franchement, à son point de vue, M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite… n’a pas tort. Quel est le compositeur qui, ayant acquis le droit d’élever une prétention pareille, consentirait à y renoncer. Autrefois, on se préoccupait beaucoup plus de la valeur musicale d’une œuvre nouvelle, on s’appliquait beaucoup plus à en comprendre le style et à en saisir les défauts ou les beautés, qu’on ne s’inquiétait du nom, du talent ou du côté phénoménal de tel chanteur, de telle cantatrice, chargés de traduire la pensée du librettiste et les inspirations du compositeur. Aujourd’hui, il n’en est pas tout à fait ainsi, et je n’ai pas besoin de dire quelle influence peut avoir la note exceptionnelle d’un ténor sur la destinée d’un opéra. Un jeune musicien dont les succès ont été circonscrits jusqu’à présent dans le cercle un peu étroit des Bouffes-Parisiens, disait il y a quelque temps devant moi : « Si M. TamberlickTamberlick, EnricoEnrico Tamberlick (Rome, 16 mars 1820 – Paris, 13 mars 1889), ténor. Après avoir étudié à Rome, à Naples et à Bologne, il fit ses débuts au Teatro del Fondo de Naples en 1843. Dès 1850, il se produisit chaque année à Londres dans les rôles de ténors héroïques, notamment Arnold (GuilLire la suite… voulait me promettre le concours de son ut dièse, j’écrirais à l’instant même cinq actes pour l’Opéra ; ma partition serait reçue, et ma fortune serait faite. » Il eût mieux valu, sans doute, dire réputation au lieu de fortune, mais à cela près chaque mot ne manque pas d’une certaine justesse.
M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite… comprend les exigences ou les faiblesses d’un public qui, en définitive, est son juge, et pour l’opinion duquel il a toujours eu les plus grands égards, le plus profond respect. Il tient absolument à ce que ses œuvres se produisent dans les conditions les plus favorables, et qu’elles soient rendues, autant que possible, telles que son génie les a rêvées. On offre à M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite… des artistes d’un très grand talent ; mais qui, je le répète, n’ont pas les qualités exigées par les rôles qui doivent leur être confiés. M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite… ne veut pas de ces artistes et en demande d’autres. On n’en a pas sous la main, on en cherche par tous les points du globe, excepté en France, bien entendu. On en cherche aussi pour pouvoir nous faire connaître l’une des œuvres de GluckGluck, Christoph WillibaldChristoph Willibald Gluck (Erasbach/Haut-Palatinat, 2 juillet 1714 – Vienne, 15 novembre 1787), compositeur. Né en Bohème, on ne sait rien de ses études scolaires ou musicales. En 1732, il alla à Prague, jouant du violon, et préférablement du violoncelle et chantant dans les chœurs des églLire la suite….
La seule difficulté est donc de trouver des artistes qui soient acceptés par M. MeyerbeerMeyerbeer, GiacomoJakob Liebmann Meyer Beer dit Giacomo Meyerbeer (Vogelsdorf, 5 septembre 1791 – Paris, 2 mai 1864), compositeur. Il étudia la composition avec Zelter puis l’abbé Vogler et le piano avec Franz Lauska. Bien que considéré par Moscheles comme un des plus grands pianistes de son temps, Meyerbeer abLire la suite…. Eh bien ! soyez persuadé que cette difficulté grandira à mesure que le public ira plus avant dans la voie où il est entré aujourd’hui. Il lui faut, à tout prix, des gosiers extraordinaires, impossibles : il applaudit au baryton qui lance à pleine voix des notes de ténor, il est dans le plus fol enthousiasme en entendant la note exceptionnelle du ténor que l’on n’a engagé qu’à cause de cette note-là, et il envoie tous ses bravos, tous ses cris, toutes ses fleurs à la cantatrice qui se repose avec aisance sur un mi aigu entouré de trilles et de fioritures de toutes sortes.
Ce que je dis là est rigoureusement exact, et comme l’art du chant n’a rien à voir dans ces exercices gymnastiques qui plaisent tant au public, les vrais chanteurs deviennent tous les jours plus rares : ceux qui pourraient un jour avoir du talent aspirent à être des phénomènes et rien de plus. J’ai pour voisin un monsieur qui, depuis trois ans, me régale toutes les après-midi du fameux Suivez-moi de Guillaume Tell ; je l’ai fait prier plusieurs fois de bien vouloir déménager ; il n’a jamais voulu y consentir, mais il m’a fait répondre que le jour où l’ut de poitrine qu’il travaille sortirait sans difficulté et avec toute l’énergie désirable, il descendrait dans un élégant phaéton des hauteurs de Montmartre et qu’il n’y remonterait plus. Fasse le ciel pour moi et pour l’Opéra, que l’ut de poitrine de mon voisin sorte le plus tôt possible.
Je n’ai rien à ajouter aux éloges que mon spirituel confrère Gustave ClaudinClaudin, GustaveGustave Claudin (La Ferté-sous-Jouarre/Seine-et-Marne, 24 mai 1819 – Paris, 1er mars 1896), journaliste et écrivain. Il fit des études de droit et grâce à l’appui d’Emile de Girardin, il fut engagé à La Presse comme chroniqueur des faits divers. Il fut ensuite chroniqueur au Courrier franLire la suite… a déjà donnés à la pièce, aux décors, à la musique et aux interprètes de la jolie opérette qui se joue en ce moment aux Bouffes-Parisiens : Orphée aux EnfersOrphée aux enfersOrphée aux enfers, opéra-bouffon en deux actes sur un livret de Hector Crémieux mis en musique par Jacques Offenbach et créé aux Bouffes-Parisiens le 21 octobre 1858.Lire la suite…. Je regrette seulement d’avoir été devancé.
Personnes discutées
Personnes citées
Oeuvres discutées
Oeuvres citées
Notes d'édition
Allusion à la reprise des Méprises par ressemblance (Grétry) à l’Opéra-Comique le 28 juillet 1858.