Divertissement pour orchestre

Genre(s): Œuvre symphonique | Composée par: Lalo, Edouard-Victor-Antoine

Divertissement pour orchestre d’Edouard Lalo. Cette suite est extraite de la musique de ballet composée pour son opéra Fiesque. Elle comporte quatre mouvements : Introduction, Aubade, Andantino et Finale. Elle fut créée par le Concert populaire dirigé par Jules Pasdeloup au Cirque d’hiver de Paris le 8 décembre 1872.

36 mélodies d’Auguste-Emmanuel Vaucorbeil

Genre(s): Mélodie | Composée par: Vaucorbeil, Auguste-Emmanuel Ferville dit

36 mélodies d’Auguste-Emmanuel Vaucorbeil. Recueil des 36 mélodies (édition revue et augmentée Piano et Chant), publié par Le Ménestrel, Paris, 1872. Cette publication est citée comme « primes 1872-73 du Ménestrel » dans la publication du Ménestrel du 1er décembre 1872, page 8.

Soir, Le

Genre(s): Mélodie

Le Soir, mélodie pour voix et piano sur un poème d’Alphonse de Lamartine mis en musique par Charles Gounod et publiée dans son 1er recueil de 20 Mélodies par Choudens Éditeur, Paris, 1863. Il en existe une version manuscrite à la Bibliothèque nationale de France pour voix, piano et cor obligé et Gounod en fit également une transcription pour piano publiée comme la 3ème des Trois romance sans paroles par Choudens Éditeur, Paris, 1861.

Jeanne d’Arc

Genre(s): Opera | Composée par: Duprez, Gilbert-Louis

Jeanne d’Arc, opéra en cinq actes, avec prologue, sur un livret de Joseph Méry et Édouard Duprez, mis en musique par Gilbert Duprez et créé au Grand-Théâtre Parisien le 3 octobre 1865.

Guzla de l’émir, La

Genre(s): Opera-comique | Composée par: Dubois, Clément-François-Théodore

La Guzla de l’émir, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules Barbier et de Michel Carré, mis en musique par Théodore Dubois et créé au Théâtre-Lyrique de l’Athénée de Paris le 30 avril 1873.

Don César de Bazan

Genre(s): Pièce de Théâtre

Don César de Bazan, drame en cinq actes, mêlé de chant, d’après Ruy Blas Victor Hugo, par Philippe Dumanoir et Adolphe d’Ennery, créé au Théâtre de la Porte-Saint-Martin de Paris, le 30 juillet 1844.

Madame Turlupin

Genre(s): Opera-comique | Composée par: Guiraud, Ernest

Madame Turlupin, opéra-comique en deux actes sur un livret d’Eugène Cormon et Charles Grandvallet mis en musique par Ernest Guiraud et créé au Théâtre de l’Athénée le 23 novembre 1872.

Capitaine Fracasse

Genre(s): Roman

Capitaine Fracasse, roman de Théophile Gautier paru en feuilleton dans la Revue nationale et étrangère du 25 décembre 1861 au 30 juin 1863 puis publié en deux volumes chez Charpentier, Paris : 1863. C’est un roman de cape et d’épée qui se déroule sous le règne de Louis XIII entre 1637 et 1643. Le baron de Sigognac, désargenté et vivant reclus dans son manoir landais qui tombe en ruine, donne l’hospitalité à une actrice, Isabelle, dont il tombe amoureux. Il décide de la suivre en se joignant à sa troupe de comédiens ambulants, où il joue le rôle du matamore sous le nom de scène de Capitaine Fracasse. Il lutte contre un rival, le duc de Vallombreuse, également amoureux d’Isabelle. Après plusieurs duels, tentatives d’assassinat et autres péripéties, on découvre qu’Isabelle est la demi-sœur du duc de Vallombreuse, ce qui élimine le duc et permet au baron de Sigognac d’épouser Isabelle sans déchoir. En enterrant son vieux chat dans son jardin,

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Casseurs de pierres, Les

Genre(s): Peinture

Les Casseurs de pierres était un tableau de Gustave Courbet, peint en 1849 et qui mesurait 1,65 × 2,57 m. Il fut présenté au Salon de 1850-1851 en même temps que Les Paysans de Flagey revenant de la foire et Un enterrement à Ornans. Acquis en 1909 par la Gemäldegalerie Alte Meister de Dresde, il fut détruit lors des bombardements de Dresde par les forces alliées en 1945.

Enterrement à Ornans, Un

Genre(s): Peinture

Un enterrement à Ornans est un tableau de Gustave Courbet, peint entre 1849 et 1850, et qui fut présenté au Salon de 1850-1851 où il engendra des réactions violentes de la part des critiques choqués qu’une si grande toile (6,68 × 3,15 m), dont le format est habituellement réservé aux grandes scènes historiques, mythologiques ou religieuses, soit employée pour un sujet ordinaire traité avec un tel sérieux. L’œuvre est un véritable manifeste du réalisme, que Courbet revendique lorsqu’il énonce : « Je tiens ainsi que la peinture est un art essentiellement concret et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes [...] de tous les objets visibles ; un objet abstrait, non visible, non existant n’est pas du domaine de la peinture. ».