Nicolas-Jean-Blaise Martin (Paris, 24 février 1768 – Ronzières près de Lyon, 28 octobre 1837), baryton aigu. Après des débuts en 1789 dans Le Marquis de Tulipano (Paisiello), il fut engagé en 1801 à l’Opéra-Comique, où il fit toute sa carrière. Sa voix de baryton très étendue lui permettait de chanter avec aise le do aigu des ténors. Il donna son nom à ce type de voix : « baryton-martin ». Il créa de nombreux ouvrages, dont Maison à vendre (Dalayrac, 1800), L’Irato (Méhul, 1801), Ma tante Aurore (Boieldieu, 1803), Gulistan (Dalayrac, 1805), Jean de Paris (Boieldieu, 1812) et Joconde (Nicolo, 1814). Il fut enfin professeur de chant au Conservatoire de Paris entre 1816 et 1818 puis de 1832 sa mort.
Source: Dictionnaire de la Musique en France au XIXe siècle.
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