Sophie-Louise-Auguste Dulcken (Londres, 6 mars 1835 – ?), pianiste. Elle est la fille de l’organiste Heinrich Dulcken, la petite-fille de la pianiste Sophie Lebrun-Dulcken et par celle-ci l’arrière-petite-fille de la cantatrice Francesca Danzi-Lebrun et de son époux Ludwig August Lebrun, hautboïste de l’orchestre de Mannheim, qui étaient des amis de Mozart. Elle débuta à Londres à sept ans et se produisit à Leipzig dès 1846. Deux ans plus tard, elle fit une grande tournée avec sa jeune sœur Isabella en Europe et toutes deux s’installèrent à Paris. En 1856, elle repartit seule en tournée en Russie. Elle épousa en 1857 un prince Radziwill et se retira de la vie publique. Hormis la mention d’une princesse Sophie Radziwill à Nantes en 1872, on ignore tout de sa vie après 1857. Deux tantes de Sophie et d’Isabella, Louise et Fanny Dulcken, ont épousé deux frères Bohrer, respectivement le violoncelliste Max et le violoniste Anton Bohrer. L’oncle des jeunes filles, Théobald Dulcken, a épousé la pianiste Louise David, sœur du violoniste Ferdinand David.
Source: www.sophie-drinker-institut.de
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Revue de Paris - 1853-12-01Revue de Paris - 1853-12-01La Revue de Paris, 1er décembre 1853, p. 838-843 (article signé E. Reyer).Revue musicale.Opéra : Jovita, ou les Boucaniers, ballet-pantomime en trois tableaux, par M. Mazillier [Mazilier], musique de M. Théodore Labarre. Début de Mme Rosati. —Théâtre-Lyrique : Reprise des AmourLire la suite...