Variations pour piano et orchestre sur un thème du Comte Gallenberg en la bémol majeur Op. 25. Ces variations existent aussi en deux autres versions : l’un pour piano et quatuor à cordes, et l’autre pour piano solo. Elles furent composées en 1837/38 et publiées chez Aristide Farrenc en 1838. Il est à noter que sur un manuscrit de la Bibliothèque Nationale de cette œuvre Madame Farrenc a écrit de sa main « Fantaisie. Piano et orchestre ». De fait cette œuvre n’est pas composée comme un simple thème et variations, l’orchestre y intervient avec des phrases en imitation, des mélodies en accompagnement des traits  du piano, des ritournelles séparant les sections de l’œuvre et avec une importante introduction et conclusion, ce qui la rapproche d’une fantaisie.