Ständchen (Sérénade) D.957 no. 4

Ständchen (Sérénade) D.957 no. 4. Mélodie pour voix et piano sur un poème de Ludwig Rellstab mis en musique par Franz Schubert. Composée en automne 1828, peu de temps avant le décès du compositeur, cette mélodie fut publiée en un recueil intitulé Schwanengesang (Chant du cygne), que son éditeur Tobias Haslinger publia posthumement en 1829, en assemblant les dernières mélodies composées par Schubert : 7 sur des poèmes de Ludwig Rellstab, 6 sur des poèmes de Heinrich Heine et pour clore le recueil une mélodie sur un poème de Johann Gabriel Seidl. Il y eut plusieurs traductions en Français de cette mélodie dont celles d’Antoine Belanger (1825), de Hippolyte Ducas (1844) et d’Émile Deschamps (1851).