Rameaux, Les
Genre(s): Mélodie | Composée par: Faure, Jean-BaptisteLes Rameaux, hymne pour baryton ou mezzo-soprano et piano sur des paroles de Jules Bertrand mises en musique par Jean-Baptiste Faure et publié chez Ledendu, Paris 1861.
Gazouillette
Genre(s): Opera-comique | Composée par: Duprato, Jules-Laurent-AnacharsisGazouillette, opéra-comique en un acte de Jules Duprato. Dans la notice biographique de 1894, par Paul Clauzel, Secrétaire perpétuel de l’Académie de Nîmes, citée sur le site Musica et Memoria (www.musimem.com) sous la rubrique de Jules Duprato, il est mentionné : « Parlons d’abord d’un opéra-comique en un acte. Gazouillette, que nous aurions pu citer vers 1864, mais que nous avons alors passé sous silence, parce que, non représenté, il est resté inédit et inconnu. Après avoir langui longtemps dans les cartons de l’Opéra-Comique, il venait d’être reçu à l’Athénée quand ce théâtre disparut. Il réintégra alors le portefeuille où il demeure enfoui, désormais perdu sans doute pour le public. »
Ninette et Ninon
Genre(s): Opera-comique | Composée par: Pénavaire, Jean-GrégoireNinette et Ninon, opéra-comique en un acte sur un livret de Hermance Lesguillon et Ferdinand Langlé mis en musique par Jean-Grégoire Pénavaire créé au Théâtre de l’Athénée de Paris le 28 avril 1873.
Divertissement pour orchestre
Genre(s): Œuvre symphonique | Composée par: Lalo, Edouard-Victor-AntoineDivertissement pour orchestre d’Edouard Lalo. Cette suite est extraite de la musique de ballet composée pour son opéra Fiesque. Elle comporte quatre mouvements : Introduction, Aubade, Andantino et Finale. Elle fut créée par le Concert populaire dirigé par Jules Pasdeloup au Cirque d’hiver de Paris le 8 décembre 1872.
Guzla de l’émir, La
Genre(s): Opera-comique | Composée par: Dubois, Clément-François-ThéodoreLa Guzla de l’émir, opéra-comique en un acte sur un livret de Jules Barbier et de Michel Carré, mis en musique par Théodore Dubois et créé au Théâtre-Lyrique de l’Athénée de Paris le 30 avril 1873.
Don César de Bazan
Genre(s): Pièce de ThéâtreDon César de Bazan, drame en cinq actes, mêlé de chant, d’après Ruy Blas Victor Hugo, par Philippe Dumanoir et Adolphe d’Ennery, créé au Théâtre de la Porte-Saint-Martin de Paris, le 30 juillet 1844.
Madame Turlupin
Genre(s): Opera-comique | Composée par: Guiraud, ErnestMadame Turlupin, opéra-comique en deux actes sur un livret d’Eugène Cormon et Charles Grandvallet mis en musique par Ernest Guiraud et créé au Théâtre de l’Athénée le 23 novembre 1872.
Capitaine Fracasse
Genre(s): RomanCapitaine Fracasse, roman de Théophile Gautier paru en feuilleton dans la Revue nationale et étrangère du 25 décembre 1861 au 30 juin 1863 puis publié en deux volumes chez Charpentier, Paris : 1863. C’est un roman de cape et d’épée qui se déroule sous le règne de Louis XIII entre 1637 et 1643. Le baron de Sigognac, désargenté et vivant reclus dans son manoir landais qui tombe en ruine, donne l’hospitalité à une actrice, Isabelle, dont il tombe amoureux. Il décide de la suivre en se joignant à sa troupe de comédiens ambulants, où il joue le rôle du matamore sous le nom de scène de Capitaine Fracasse. Il lutte contre un rival, le duc de Vallombreuse, également amoureux d’Isabelle. Après plusieurs duels, tentatives d’assassinat et autres péripéties, on découvre qu’Isabelle est la demi-sœur du duc de Vallombreuse, ce qui élimine le duc et permet au baron de Sigognac d’épouser Isabelle sans déchoir. En enterrant son vieux chat dans son jardin,
Lire la suite...Casseurs de pierres, Les
Genre(s): PeintureLes Casseurs de pierres était un tableau de Gustave Courbet, peint en 1849 et qui mesurait 1,65 × 2,57 m. Il fut présenté au Salon de 1850-1851 en même temps que Les Paysans de Flagey revenant de la foire et Un enterrement à Ornans. Acquis en 1909 par la Gemäldegalerie Alte Meister de Dresde, il fut détruit lors des bombardements de Dresde par les forces alliées en 1945.
Enterrement à Ornans, Un
Genre(s): PeintureUn enterrement à Ornans est un tableau de Gustave Courbet, peint entre 1849 et 1850, et qui fut présenté au Salon de 1850-1851 où il engendra des réactions violentes de la part des critiques choqués qu’une si grande toile (6,68 × 3,15 m), dont le format est habituellement réservé aux grandes scènes historiques, mythologiques ou religieuses, soit employée pour un sujet ordinaire traité avec un tel sérieux. L’œuvre est un véritable manifeste du réalisme, que Courbet revendique lorsqu’il énonce : « Je tiens ainsi que la peinture est un art essentiellement concret et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes [...] de tous les objets visibles ; un objet abstrait, non visible, non existant n’est pas du domaine de la peinture. ».