Reverie et Caprice, romance pour violon

Rêverie et caprice, romance pour violon et orchestre op. 8 de Hector Berlioz, créée le 1er février 1842 à la Salle Vivienne à Paris. Le soliste était Delphin-Jean Alard. Ce morceau était à l’origine le premier air de Theresa dans l’opéra de Berlioz Benvenuto Cellini (no. 3 A) intitulé Romance et dont l’incipit est « Ah ! que l’amour une fois dans le cœur/A de peine à quitter son asile ! ». La cantatrice Julie Dorus-Gras en demanda un autre (no.3 B) intitulé Cavatine et dont l’incipit est « Entre l’amour et le devoir/Un jeune cœur est bien à plaindre ». La Romance n’ayant jamais été exécutée, Berlioz la sauva en la transcrivant comme pièce pour violon et orchestre : Rêverie et caprice.