Les Contes des mille et une nuit, recueil en langue arabe de contes anonymes d’origine persane et indienne. Les contes sont enchâssés les uns dans les autres, les personnages sont mis en miroir les uns par rapport aux autres et le tout est encadré par l’histoire de Shéhérazade et du sultan Sharyar. Celui-ci en représailles à l’infidélité de sa femme la condamne à mort et pour ne plus être trompé fait exécuter chaque matin la femme qu’il a épousée la veille. Shéhérazade, la fille du grand vizir, décide d’épouser le sultan à qui elle raconte chaque nuit un conte dont la suite est reportée au lendemain. Le sultan sursoit de jour en jour l’exécution de Shéhérazade pour connaitre la suite du conte et au bout de mille et une nuit renonce à la faire exécuter. Le plus ancien fragment de ce recueil date du IXe siècle.
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Revue de Paris - 1852-10-00Revue de Paris - 1852-10-00La Revue de Paris, octobre 1852, p. 142-146 (article signé Ernest Reyer).Critique musicaleOpéra-Comique : Le Père Gaillard, trois actes, par MM. T. Sauvage et H. Reber. — Théâtre Lyrique : Si j’étais roi, trois actes, par MM. Dennery [d’Ennery], Brésil et Adolphe Adam.Lire la suite...
Revue de Paris - 1854-02-15Revue de Paris - 1854-02-15La Revue de Paris, 15 février 1854, p. 666-672 (article signé E. Reyer).Revue musicale.Opéra : Débuts de Mlle Sophie Cruvelli dans les Huguenots. — Théâtre-Lyrique : Les Etoiles, opéra-ballet en deux actes, paroles de M. Clairville, musique de M. Pilati. — Début de M. LagraLire la suite...